Edito: et après ?
Le
président du Faso et le Premier ministre ont donné un signal fort en limogeant,
jeudi 23 février, le ministre de la Justice, Jérôme Traoré. "Trop, c'est
trop !", est-on tenté de dire. Comment un ministre, de surcroît ministre
de la Justice et de la Promotion des droits humains, censé donc être le
protecteur N°1 du citoyen, peut-il se permettre de faire appel à des gardes de
sécurité pénitentiaires (GSP) pour bastonner un citoyen, mécanicien de son état
? (…)
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