Le rapport d’audit 2018 de la
Présidence du Faso n’a pas fini de livrer ses secrets. Plusieurs petits marchés
attribués à plusieurs entreprises, sans contrat, alors que les montants sont supérieurs
à un million francs CFA. Pourtant, les textes en matière de marchés publics
l’exigent. En plus de la violation de la règlementation, c’est une perte pour
le trésor public, notamment le service des impôts. L’enregistrement des
contrats permet des entrées d’argent. C’est un mauvais signal donné par Kosyam.
Et il n’y a pas que ça !
