«Dialogue ? A condition que Blaise soit d’accord avec la charia»
La CEDEAO réussira-t-elle à chasser, par une intervention militaire, les groupes islamistes qui occupent le Nord du Mali ? Cette question, lourde de sens, n’a aucune importance aux yeux du Mouvement pour l’unicité et le djihad en Afrique de l’Ouest. Le Responsable de la sécurité intérieure du MUJAO, Aliou Mohamed Touré, tape aussitôt du poing sur la table: «La CEDEAO et ses alliés sont trop petits devant nous. Nous allons les neutraliser», dit-il d’un ton ferme. Et le voici qui assène un coup de poignard à la Cour pénale internationale: «La CPI n’est rien, absolument rien ! Nous avons la charia et la charia est plus puissante que la CPI».
Un militaire radié de l’Armée nous écrit…
«J’ai été arrêté en juillet 2011 pour l’attaque des domiciles de trois Officiers du Génie militaire». L’homme qui parle ainsi a été radié de l’Armée nationale et incarcéré à la Maison d’arrêt et de correction de Ouagadougou (MACO). Mais que sont devenus les militaires qui ont attaqué les domiciles du ministre de la Défense, Yéro Boly, et du chef d’Etat-major général des armées, le Général de Division Dominique Djendjéré ? Mystère et boule de gomme. «Je vous informe qu’aucun militaire
Des «mercenaires» burkinabè haussent encore le ton
L’affaire commence à prendre des allures inquiétantes. Des «mercenaires» burkinabè, qui disent avoir combattu aux côtés des forces pro-Ouattara afin de déloger Laurent Gbagbo du pouvoir, réclament,
Mais qui contrôle la Présidence du Faso ?
Les faits parlent d’eux-mêmes. La Cour des comptes, la haute juridiction chargée du contrôle des finances publiques, n’est jamais allée voir comment la Présidence du Faso gère l’argent du contribuable. Elle n’est jamais non plus allée à l’Assemblée nationale. Ni la Cour des comptes, ni l’Autorité supérieure de contrôle d’Etat (ASCE). Pourtant, chaque année,
A propos des 1 507 500 000 FCFA
Tout ne marche pas si bien à la Présidence du Faso. Il y a même des problèmes financiers. Du moins si l’on en croit le document transmis par la Présidence à l’Assemblée nationale dans le cadre de l’examen du budget de l’Etat, gestion 2012. Blaise Compaoré et son équipe avaient besoin, en plus des fonds mis à leur disposition pour cette année, d’argent frais
Les médecins sont fâchés !
Les conditions sociales et économiques des médecins du Burkina Faso sont loin d’être enviables. Restés en marge des agitations sociales de ces dernières années, ils ont vu leur qualité de vie dégringoler comme un château de cartes. Vite, ils se sont organisés en syndicat national pour formuler une plate-forme revendicative en 4 gros points. Le 16 juillet 2012, le document a atterri sur la table du ministre de la Santé, Adama Traoré, avec ampliation à son homologue de la Fonction publique. Il a une connotation d’essoufflement : « Messieurs les ministres, nous n’en pouvons plus ! »…
Unité de production fermée, salaires impayés !
Voilà bientôt 4 mois que l’eau minérale Yelemdé a disparu du marché burkinabè. C’est la conséquence d’un processus de privatisation qui traîne sur son passage des arriérés de salaires pour 14 agents. Toutes les démarches entreprises n’ont eu d’échos favorables ni de l’Etat liquidateur, encore moins de l’introuvable repreneur.
Non à la succession du frère par le frère
Sur fond de demande des «refondateurs», le chef de l’Etat a daigné convoquer le CCRP. Cette sagesse de monsieur Blaise Compaoré, même s’il a mis du temps pour se décider, a permis aux Burkinabè de retrouver une accalmie suite aux évènements de février 2011.
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